mercredi 9 novembre 2011

Activité E Synthèse : Le Web social et l’Education supérieure




Introduction

Plusieurs projets sous le couvert du web participatif, démontrent que nous sommes rentrés dans un monde de globalisation d’information. Les services de web social font drainer des millions de dollars à travers le monde. Le monde de l’éducation n’échappe pas à cette avancée fulgurante du web social.

Le Web 2.0 et les réseaux sociaux sont au cœur d’une révolution de l’enseignement et de l’apprentissage. Plus que jamais, les étudiants ont accès à des environnements collaboratifs qui favorisent le partage et la co-construction des connaissances (Elgg, Ning, Wikis, etc.). Plus flexibles, les outils technologiques du Web 2.0 offrent aux étudiants un plus grand contrôle et favorisent l’émergence d’espaces d’apprentissage personnels (Facebook). Les sites comme Del.icio.us, YouTube et iTune U contiennent de plus en plus de contenus et d’approches susceptibles d’enrichir l’expérience d’apprentissage des étudiants. Wikipédia est devenu le plus fameux et en même temps le plus disparate des encyclopédies en ligne à travers les siècles.
Cet essai est une réflexion sur le monde de l’éducation à l’ère du web social, comment les environnements technologiques et les pratiques de l’éducation sont en train de changer avec les réseaux sociaux. Nous nous limiterons à l’éducation supérieure (cegep, écoles et universités) car l’éducation primaire et secondaire a des spécificités d’apprentissage qui ne seront pas couvertes dans notre essai. Nous terminerons notre réflexion en faisant une extrapolation des tendances du web social dans le monde de l’éducation supérieure dans 1 an, 5 ans et 20 ans.

1-     Description du milieu de l’éducation supérieure

Rôles et besoins des acteurs de l’enseignement supérieur

Le milieu de l’enseignement supérieur comprend un certain nombre d’acteurs dont quelques uns sont : les doyens des facultés, les présidents d'universités, les directeurs de grandes écoles, les chargés de communication, les professeurs et les enseignants, les étudiants actuels et futurs, les responsables d'associations estudiantines. Il existe d’autres acteurs comme les organismes de bourses et les entreprises partenaires des écoles et les fonctionnaires du ministère de l’éducation.

 Les doyens des facultés, les présidents d'universités et les directeurs de grandes écoles travaillent sur les programmes d’études et s’assurent que les moyens didactiques et les ressources humaines et financières soient disponibles.

Les chargés de la communication travaillent sur la visibilité des institutions universitaires et écoles car l'enseignement supérieur est entré dans l'ère de la concurrence. Ces établissements ne peuvent plus rester enfermés dans leur tour d'ivoire, à l'écart de la société, drapés dans une logique purement académique. L'excellence académique ne suffit plus : il faut aussi « faire la publicité» de ces institutions en mettant en place une communication efficace et professionnelle.

Bref, tous les acteurs de l’enseignement supérieur sont convaincus qu’il faut mettre sur pied, une communication moderne pour mieux faire connaitre les spécificités et les points forts de leur institution. Cette communication est primordiale pour attirer des étudiants, pour recruter des professeurs, pour collaborer avec des entreprises, pour collecter des fonds, pour mobiliser leurs anciens diplômés, et même pour attirer l’attention du grand public.

Structures de communication existantes

Traditionnellement, les structures de communication entre les institutions d’enseignement supérieur et le public sont :

-         la presse écrite : c’est le premier média de communication utilisé pour les publicités notamment celles concernant les établissements d’études supérieures.
-         la radio et la télévision : la radio et la télévision  complètent souvent les communications faites à travers la presse écrite.
-         les affichages publicitaires : on trouve très souvent des affiches sur les universités et grandes écoles dans les métros et les bus et aussi sur des panneaux publicitaires loués pour l’occasion.
-         les journaux étudiants : il est très courant de publier des activités universitaires et des nouvelles offres et possibilités dans les journaux étudiants puisque ces derniers sont largement lus par la majorité de la population estudiantine.
-         les sites web des écoles et universités : les sites web « conviviaux » ont en effet permis de rendre l’information sur lesdits établissements disponibles partout et en temps réel. On constate néanmoins que le contenu de ces sites web reste limité par exemple la présentation de l’offre de programmes, un mot du directeur ou du doyen, quelques images des locaux et des étudiants, parfois des contenus interactifs.


Pérennité de certaines structures actuelles

Les sites web des écoles vont demeurés encore pour plusieurs années puisqu’ils représentent la vitrine des différentes institutions universitaires. Par contre, les contenus interactifs vont être améliorés pour rendre ces sites encore plus attractifs.

2-     Tendances observables dans les milieux de l’éducation supérieure

Les nouvelles tendances de la communication dans les milieux de l’éducation supérieure sont :

                         a-      les publications en ligne;
                         b-      l’utilisation des blogs pour se faire connaitre;
                         c-      une présence effective, une veille participative et interactive sur les réseaux sociaux.

De nos jours, on constate que les étudiants, les professeurs sont parmi les premiers utilisateurs du web, des réseaux sociaux et des outils multimédia. C’est dans ce sens qu’il faut utiliser ces moyens pour communiquer avec eux et les convaincre.
A compter des années 2005-2006, avec le développement du web 2.0 qui offre une grande interactivité, les sites web s’enrichissent de chats, de forums, de blogs et de vidéos diverses.

Selon Pierre TAPIE, Directeur général du Groupe ESSEC (École Supérieure des Sciences Économiques et Commerciales) et Président de la Conférence des grandes écoles, « le paysage de l'enseignement supérieur se transforme à grande vitesse, sous l'effet de la mondialisation et de la croissance soutenue de la demande de formation dans le monde. Entre 2000 et 2015, le nombre d’étudiants passera de 100 à 200 millions dans le monde, 70 millions des nouveaux étudiants étant en Asie. Ceci amène d'immenses opportunités, mais en même temps une compétition devenue mondiale entre les institutions, qui cherchent à se distinguer par des signes de qualité… »

Très appréciés chez les étudiants, les réseaux sociaux permettent de créer des «communautés» autour de thématiques variées. Parmi les plus connus de ces réseaux, on peut citer :

-  Facebook, qui compte des dizaines de millions de membres dans le monde. Il permet de transposer son univers personnel et professionnel sur Internet. Au total, on y dénombre plus de 70.000 associations d’anciens diplômés avec des annonces d’événements étudiants et de soirées, des outils pour retrouver d’anciens camarades, des sondages, etc.
les réseaux professionnels, comme LinkedIn ou Viadeo. Ils permettent de gérer son image, de développer ses contacts et de se valoriser sur le marché de l’emploi. La plupart des étudiants s’inscrivent sur ces réseaux professionnels à la fin de leur cursus universitaire.
les sites de partage comme Flikr, YouTube ou DailyMotion. YouTube, par exemple, hébergent un nombre croissant de chaînes TV d’universités. Elles y diffusent des vidéos promotionnelles (interviews d’anciens, vie associative, etc.) et des contenus (cours, lectures, débats). Un cours de physique à Berkeley a ainsi été visionné plus de 130.000 fois.
-  MySpace, qui permet d’échanger musiques, photos et vidéos ;
-  Flickr, pour l’échange de photos. Il existe également une foule de réseaux axés sur une activité, un hobby, un centre d’intérêt : la recherche, l’apprentissage des langues (Mango Languages, Italki...), le recrutement, etc.
On constate une présence effective des étudiants sur la plupart de ces réseaux sociaux.



Les étudiants utilisent aussi les services du web participatifs que sont :

-  les blogs : ils permettent d’exprimer un point de vue et d’y adjoindre des commentaires. Le blog est une sorte de conversation entre un auteur et d’autres contributeurs. Sur les campus, il est fréquent que des groupes de bloggeurs publient des connaissances communes, que chacun peut commenter.
-  les flux RSS (Really Simple Syndication) : très utilisés dans les blogs d’information, ils permettent de proposer des abonnements sur différents sujets ou centres d’intérêt. Les flux RSS sont souvent associés au partage de signets, qui permet de profiter des nouveaux sites sélectionnés par d’autres.
-   le partage de fichiers multimédia. Il s’opère à partir de sites spécialisés comme You-Tube (pour la vidéo) ou Flickr (pour les photos), sur lesquels les internautes peuvent stocker à leur gré leurs documents. Les étudiants sont très actifs sur ces sites.
-  le podcast - ou le téléchargement de contenus multimédia. Certaines universités ou écoles utilisent le podcast pour diffuser des vidéos de leurs cours, sous forme de fichiers multimédia. La HEC (Hautes Études Commerciales) par exemple, collabore avec Apple sur ce type de dispositif. Il existe même des plates-formes spécialisées dans le podcast éducatif (iTunesU pour Apple, SciVee...). Et aussi des plates-formes d’échange consacrées aux vidéos de cours, ou de conférences données par des professionnels.
-  les wikis - Il s’agit d’un système de gestion de contenu qui permet aux abonnés du site de modifier le contenu des pages. Les wikis sont utilisés pour mener à bien des projets collectifs reposant sur une accumulation de connaissances. Ils sont à la base de l’encyclopédie libre Wikipédia, lancée en 2001.
- les univers 3 D, comme Second Life, qui permet d’utiliser un avatar. Ces mondes virtuels, ludiques, au graphisme proches du dessin animé, peuvent avoir des applications en termes de recrutement, de pédagogie, ou de communication.

3-     Enjeux ayant motivés les nouvelles tendances dans les milieux des études supérieures

Les nouvelles tendances dans les milieux d’enseignement supérieur sont motivées par un certain nombre d’enjeux, nous citerons :

Enjeux liés à la globalisation sur le plan international

Les  universités et grandes écoles sont en train de revoir  leur stratégie et organiser leur fonctionnement en tenant compte de la dimension internationale. Elles recrutent de plus en plus d'étudiants étrangers et accueillent des professeurs internationaux ; les  enseignements doivent refléter une vision « globale » du monde.

Enjeux liés à des partenariats avec les collectivités locales et les entreprises

De nos jours, les universités et les grandes écoles doivent renforcer leurs liens avec leur environnement économique proche notamment les entreprises, les collectivités locales, et les associations. Elles deviennent un acteur majeur du territoire sur lequel elles sont implantées.
Il existe un partenariat entre les universités et les entreprises notamment en ce qui concerne les contrats de recherches et des financements variés à travers des chaires, des dotations et des achats de formation. Les entreprises sont de plus en plus présentes au conseil des établissements d'enseignement supérieur puisqu’elles participent à l'élaboration de la stratégie et des programmes.

Enjeux liés à la concurrence
Un étudiant peut désormais choisir d'effectuer une partie de son cursus n'importe où dans le monde : en effet, une gigantesque compétition commence à opposer les institutions du monde entier pour attirer les meilleurs étudiants. Au Québec par exemple, la CREPUQ (Conférence des recteurs et des principaux des universités du Québec) a vu le jour et permet ainsi aux étudiants, ayant été admis dans un programme dans une université donnée, de choisir d’autres cours dans une autre université. Les cours « autorisés » sont ainsi crédités dans le programme initial.
De même, les enseignants-chercheurs de l’éducation supérieure sont recrutés de nos jours sur tout le marché planétaire. Les institutions sont donc engagées dans une démarche d'excellence à tous les niveaux.

Enjeux liés aux accréditations

Les universités et les grandes écoles sont sous le regard d'organismes d'accréditation et de classements internationaux. Les évaluations subies se présentent généralement sous deux formes :

- les procédures d'accréditation qui sont pilotées par des organismes internationaux comme l'EFMD (European Foundation for Management Development) et l'AACSB (Association to Advance Collegiate Schools of Business) ou l'AMBA (Association of MBA), dans le domaine de la gestion. Il existe aussi des organismes nationaux d’accréditation, qui vérifient si les institutions répondent à un certain nombre de critères.
les classements qui sont réalisés par un certain nombre de journaux comme le «Financial Times» ou «Business Week». Il existe aussi des classements réalisés au plan national, dans la plupart des pays qui possèdent un enseignement supérieur développé.

Enjeux liés aux alliances entre institutions de formation supérieure
La plupart des institutions créent leurs propres réseaux, qui peuvent aller des simples accords d'échanges d'étudiants jusqu'aux alliances stratégiques fortes. La plupart de ces réseaux fonctionnent sur le plan international.
4- Extrapolation des tendances dans 1 an
Parmi les grandes tendances prévisibles dans un an, on peut noter :
          a-       un plus grand professionnalisme dans les communications; ainsi les équipes de communication se spécialiser et leur méthodes de travail vont évoluer;
         b-       une communication encore plus riche en ce qui concerne les supports à utiliser notamment  la télévision, le téléphone mobile, les blogs, les vidéos, les pod-casts et les réseaux sociaux;
          c-       une utilisation plus accrue des nouvelles techniques de graphisme et d’audiovisuel;
         d-       les messages mieux ciblés vers les différents acteurs qui sont les étudiants potentiels et présents, les parents, les diplômés, les professeurs et entreprises partenaires.

5- Extrapolation des tendances dans cinq ans

Parmi les grandes tendances prévisibles dans cinq ans, on peut noter :

a-     l’apparition de nouveaux types de communication comme par exemple, des jeux de « management » sur le téléphone mobile, des messages publicitaires sous forme de SMS, des contenus à « pod-caster », des messages courts sur Twitter.
b-     l’adoption des « normes » mondiales en ce qui concerne la communication de l’enseignement supérieur;
c-     un développement considérable des réseaux sociaux et des diverses communautés sur le web qui vont relier les étudiants sur le plan international;
d-     l’émergence des phénomènes comme le buzz ou la « e-réputation » dans le monde étudiant;
e-     une gestion rigoureuse de l’image et de la notoriété des établissements d’enseignement supérieur sur le web;
f-      l’apparition du web 3.0 qui va élargir les possibilités de communication sur le web et l’utilisation des technologies numériques grâce à la convergence de l’internet et de la téléphonie mobile;
g-     l’essor de la 3D dans l’univers des étudiants et des professeurs;
h-     l’apparition des nouvelles formes de travail collaboratif

6-     Extrapolation des tendances dans vingt ans

Il est difficile de prévoir les tendances de l’utilisation du web social dans l’enseignement supérieur dans 20 ans mais nous allons néanmoins envisager quelques possibilités :

a-     la montée en puissance de l'image : la vidéo va se répandre, notamment via les réseaux comme DailyMotion ou YouTube. Elle sera au cœur du développement d’Internet et de nombreux établissements d’enseignement supérieur vont continuer à se doter de véritables réseaux de télévision interne;

b-     l'usage croissant des « gadgets » mobiles comme le téléphone mobile, le smartphone, le iPod ordinateur portable et les tablettes numériques. Il va y avoir une adaptation des contenus comme les messages courts et les formats de graphisme adaptés sur ces outils

c-     l’amélioration des média-traning pour aider les enseignants à mieux communiquer et ainsi à mieux s’exprimer publiquement

d-     l’essor d'une communication globale et individualisée sur toute la durée du cycle de vie de l'étudiant c'est-à-dire avant son inscription, pendant son cursus, et tout au long de sa vie professionnelle, après le diplôme.


Conclusion

Cette synthèse nous a permis de faire une réflexion sur l’enseignement supérieur à l’ère du web social. Nous avons présenté comment les environnements technologiques et les pratiques de l’éducation sont en train de changer avec les réseaux sociaux. L'enseignement supérieur est entré dans l'ère de la communication globale et les moyens utilisés pour «donner les cours de manière traditionnelle» sont radicalement en train de changer.
Nous avons terminé notre réflexion en faisant une extrapolation des tendances du web social dans le monde de l’éducation supérieure dans 1 an, 5 ans et 20 ans. Certes ces extrapolations ne sont qu’une vision limitée de ce sera l’enseignement supérieur demain avec le web social. Dans la pratique, d’autres produits, d’autres « comportements » sociaux peuvent apparaitre et influencer fortement l’éducation dans nos universités et écoles.

Pour terminer, nous exhortons les lecteurs de cet essai à lire le livre « Cutting-Edge Social Media Approches to Business Education : Teaching with Likendin, Facebook, Twitter, Second Life and blogs» écrit par Wankel et Charles.
Une version consultable de ce livre est disponible à travers le lien :

De même le livre de l’OCDE « L'enseignement supérieur à l'horizon 2030 -- Volume 2 : Mondialisation » donne une vision de ce que sera l’éducation supérieure dans les 20 prochaines années.


Bibliographie
-         Article "Social Networking in Higher Education" de Bryan Alexander,
-         Article "Evaluating the Quality of Social Media in an Educational Context" written by Kirsi Silius, Meri Kailanto and Anne-Maritta Tervakari, from Tampere University of Technology presented at IEEE Global Engineering Education Conference (EDUCON) – "Learning Environments and Ecosystems in Engineering Education" April 2010
-         Livre blanc "L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR À L’ÉPREUVE DE LA COMMUNICATION", le premier livre blanc sur les enjeux de la communication dans l’enseignement supérieur et la recherche, publié par l’Agence "Noir sur Blanc"
-         « L'enseignement supérieur à l'horizon 2030 - Volume 2 : Mondialisation », une publication de OCDE (Organisation de Coopération et de Développement Économiques)
-         « Cutting-Edge Social Media Approches to Business Education : Teaching with Likendin, Facebook, Twitter, Second Life and blogs» écrit par Wankel et Charles
-         « Réussir sa stratégie réseaux sociaux, la communication des écoles et universités sur les réseaux sociaux», une étude de C’EST UN SIGNE, une agence Conseil en communication et stratégie de marque,  mai-juin 2010

mardi 8 novembre 2011

Bilan d’activité B concernant L’initiative du risque aviaire sur le Web social





Choix du thème
Mon choix est le risque aviaire ou le péril aviaire : en effet, la présence des oiseaux dans les aéroports est dangereuse pour l’exploitation des avions surtout dans les phases de décollage et d’atterrissage. Il existe toute une organisation et un  déploiement des moyens matériels et humains pour prévenir et lutter contre la présence des oiseaux dans les aéroports.
L’objectif de mon site c’est d’informer et sensibiliser les internautes sur l’existence de ce phénomène. Les oiseaux peuvent endommager et même bloquer les hélices des réacteurs des « oiseaux de fer » c'est-à-dire les avions. J’ai aussi ajouté des images suite à des accidents et incidents répertoriés dans le domaine du risque aviaire.
Mise en place
  1. La  page principale de mon site est accessible à https://sites.google.com/site/risqueavaireparkokouvi/home
  2. J’ai capturé le lien de cette page principale vers ma page principale dans Diigo, en l’étiquetant avec Activité-remise et Activité-B. Ce lien est partagé à partir du 17 octobre 2011 avec le groupe INF 6107.
  3. J’ai utilisé Google Analytics pour l’analyse des statistiques. Le lien est :
  1. J’ai utilisé les 4 moyens de communications suivantes pour faire connaitre l’existence de mon site : Diigo, yahoo et mon portail personnel dans netvibes. J’ai par ailleurs publié le lien de mon site sur mon babillard électronique dans Facebook.
Bilan

Le rapport de l’ensemble des visiteurs du 17 octobre au 7 novembre 2011 se présente ainsi :


Entre le 17 octobre et le 07 novembre 2011,  mon site a eu 24 visites et le maximum des visites (4) a été atteint le 22 samedi, c'est-à-dire le lendemain de ma campagne pour faire connaitre l’existence de mon site. 136 pages ont été vues sur une période de 23 jours au lieu de 30 préconisés par l’activité.
Au niveau des sources de trafic, j’ai obtenu 58,33 % provenant des sites référents, 25 % pour les
accès directs et 16,67 % provenant des moteurs de recherche.

Le rapport de l’analyse détaillé est le suivant :


 
Le rapport sur les pages les plus consultées de mon site est le suivant :

 
Les référents les plus importants proviennent de yahoo, de diigo et netvibes selon le rapport.
Le rapport complet sur les sources de trafic est le suivant :



Répartition géographique
Du point de vue répartition géographique, j’ai eu 13 visites du Togo, 7 visites du canada, 2 des états unis et 2 de la France. Les 13 visites en provenance du Togo s’expliquent par le fait que le Togo est mon pays d’origine et j’y ai séjourné alors que je travaillais sur l’activité B.

Facteurs ayant nuit à la visibilité de mon initiative
Je peux aussi expliquer mon faible taux de visite par le fait que les internautes de mes réseaux sociaux ne sont pas intéressés par le risque aviaire. Ce n’est pas un sujet d’actualité qui fait « jaser » du monde.

Les liens :
Dans Diigo


Dans ma page web dans netvibes

Dans facebook